“Elus, hauts fonctionnaires, journalistes… Ils auraient été fichés et notés en fonction de leur degré de soutien à loMonsanto. Même Ségolène Royal, alors ministre de l’Environnement. Elle est dite “à marginaliser” Référence.
Une fuite de documents confidentiels, qui portent la signature d’une agence de communication travaillant pour Monsanto, a permis aux journalistes de l’Œil du 20 heures de mettre la main sur des documents inédits.
Des pratiques vraisemblablement illégales. Des plaintes ont été déposées.