
Distilbène, Mediator… les crises médicamenteuses s’enchaînent sans que rien ne change vraiment pour les victimes. Une fois les caméras éteintes, elles se retrouvent plongées dans de longues et coûteuses procédures à l’issue souvent incertaine. Bien seules face à des labos pharmaceutiques qui mènent, avec leurs redoutables avocats, une véritable guérilla judiciaire…
Lisez les propos de Gérard Bapt recueillis par Anne-Laure Barret dans Le Journal du Dimanche du 10 mars 2013
Gérard Bapt : “Le droit français est inadapté pour les victimes des médicaments“