Vidéo publiée le 13 avril 2009 par la chaîne Expovaccins.
Ecoutez Michel Georget faire une analogie entre le gardasil et le distilbène…
EXCELLENTE comparaison: d'1 médicament réputé banal s'ensuivent catastrophes sur plusieurs générations (dont j'ai parlé dans face cachée des médicaments INFORMEZ VOS DEPUTES SENATEURS HAUT RISQUE D OBLIGATION après élections et aussi amis étrangers menaçés aussi d'obligation pic.twitter.com/gyz7tQL9sd
Voici le premier livre à mettre l’accent sur les bienfaits de l’abstention vaccinale. La bonne santé des enfants non vaccinés est confirmée par des études et observations dans divers pays. Cependant, choisir de ne pas vacciner implique un mode de vie qui privilégie un allaitement prolongé, une démarche de santé holistique favorisant la prévention, le recours aux médecines douces, un environnement calme et une alimentation saine.
Des études comparatives montrent clairement que les enfants non vaccinés développent moins d’allergies et de troubles du comportement.
De plus, rien ne prouve scientifiquement que les vaccins administrés de routine aux petits enfants soient plus utiles que dangereux… même le tétanos ! Documents à l’appui, l’auteur propose soit l’abstention vaccinale totale, soit de repousser l’âge des premiers vaccins. S’inquiétant de la disparition des maladies infantiles qui participaient au développement de l’immunité de l’adulte, elle remet en cause le bien-fondé des vaccinations de masse contre ces maladies, qui ne font que repousser l’âge de leur manifestation vers l’adolescence ou l’âge adulte, périodes de la vie où elles sont beaucoup plus graves.
Françoise Berthoud est médecin, diplômée de l’université de Genève. Comme pédiatre homéopathe, elle proposait une médecine visant à soutenir l’immunité de l’enfant par des moyens naturels et laissait une grande place au dialogue avec les parents. Aujourd’hui à la retraite, elle est membre de plusieurs groupes de réflexion sur les vaccins, se consacre à l’écriture et approfondit sa pensée sur le pouvoir médical, les alternatives à la médecine officielle et la pédagogie de la santé.
Nouvelle édition revue et complétée. Postface de Michel Georget, professeur honoraire et agrégé de biologie.
Pouvoir faire un choix adapté à ses données personnelles.
Sans remettre en cause l’efficacité des vaccins, cet ouvrage pose la question de leur multiplication dans des populations en bonne santé.
Peut-on sans risque obliger le fragile organisme du nouveau-né à s’immuniser contre cinq ou six maladies?
Et lui faire subir avant 2 ans une quarantaine d’inoculations, accompagnées de leurs additifs et de leurs impuretés?
Vaut-il la peine de protéger les enfants contre des maladies bénignes ou improbables?
Est-il sans danger d’intervenir dans leurs défenses naturelles?
Ces vaccinations massives et précoces n’ont-elles pas leur part dans l’inquiétante augmentation d’autres maladies chez l’enfant?
Se basant sur une longue pratique quotidienne, les auteurs affirment qu’il est possible de vacciner moins massivement et de manière plus nuancée, en tenant compte de chaque situation, pour pouvoir faire un choix adapté à ses données personnelles.
Nouvelle édition actualisée et mise à jour, incluant le vaccin contre le papillomavirus. Préface de Michel Georget, professeur honoraire et agrégé de biologie.
Michel Georget traite des campagnes de vaccinations.
Les vaccinations font tellement partie intégrante de la vie moderne qu’il paraît indécent de se poser la moindre question à leur sujet.
En dépit d’un calendrier vaccinal démesuré, seules trois vaccinations sont obligatoires, mais beaucoup d’entre nous se laissent influencer par la pression sociale et médiatique. Il reste bien peu de place pour une information objective.
Ces dernières années ont connu plusieurs scandales retentissants : le distilbène, le sang contaminé, la vache folle, l’hormone de croissance, le Mediator, … toutes les catastrophes que l’on a voulu longtemps ignorer. À chaque fois, promis, juré, cela ne se reproduira plus. Il y aura pourtant bientôt un scandale vaccinal si nous continuons à nous soumettre au diktat de l’industrie pharmaceutique, si les autorités sanitaires persistent à ignorer les victimes et à ne pas vouloir mettre en place une vaccinovigilance digne de ce nom.
La santé publique s’est progressivement améliorée avec les progrès de l’hygiène et de l’élévation du niveau de vie. Le rôle majeur attribué aux vaccinations dans la régression des maladies infectieuses est tout à fait contestable. De plus, les vaccins ont entraîné un cortège de souffrances en raison de leurs effets indésirables parfois graves. Le rapport bénéfices/risques paraît bien mince. Enfin, ces campagnes de vaccinations ont un coût pour la collectivité, et le rapport coût/bénéfice est loin du niveau escompté. Cet ouvrage fort bien documenté de Michel Georget, agrégé de biologie, relance ouvertement le débat.
Michel Georget traite des dangers de la vaccination.
La qualité première de ce livre est de nous rendre lucides. Michel Georget, agrégé de biologie, éclaire de façon incontestable certaines zones obscures de ce qui touche, en nous, l’essentiel : notre santé.
Nous devrions tous lire cet ouvrage. À plus forte raison si nous avons des enfants. Mais aussi pour nous-mêmes, afin de pouvoir juger de l’opportunité de les accepter ou de les refuser et, pour les vaccinations obligatoires, obtenir la liberté totale de choix comme c’est le cas dans la plupart des pays européens.
Table des matières
Chap. I : Quelques clefs pour comprendre la suite
Chap. II : Les vaccins et leur fabrication
Chap. III : À quels risques nous exposent les vaccinations?
Chap. IV : Ces risques valent-ils d’être courus?
Chap. V : Le marché du vaccin, l’éthique et l’information