Substances toxiques : la mainmise des entreprises sur la réglementation

Peut-on dire que les firmes ont le permis de nous empoisonner ?

Le sociologue Henri Boullier, auteur de “Toxiques légaux” était l’invité de “L’entretien de l’intelligence économique” sur France 24.

Les gouvernements ont beau multiplier les réglementations, ils ne parviennent pas à interdire les produits toxiques pour la santé et pour l’environnement, et semblent incapables de résister aux pressions du marché.

Vidéo publiée le 27 mars 2019.

Vaccin Gardasil : vers un nouveau scandale sanitaire ?

Drs Nicole & Gérard Delépine, Culture Populaire, 1/2

Vidéo publiée le 28 février 2019. (Suite de 1/2).

Gérard Délépine chirurgien, oncologue et statisticien et Nicole Délépine, pédiatre, oncologue, se battent depuis plus de 40 ans pour améliorer la prise en charge des malades atteints de cancer et informer la population sur l’état actuel de la science en se basant sur les faits avérés, les registres nationaux des cancers et publications internationales.

Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus, a pour objectif officiel de diminuer la fréquence des cancers du col utérin dans les populations vaccinées. Pourtant ce cancer est rare (moins de 3000 par an en France, pour 1000 décès) et prévenu à plus de 80 % par le dépistage.

Quand aucune urgence de santé publique n’existe, pourquoi les agences du médicament accordent-elles des autorisations à toute allure, comme s’il s’agissait de maladies gravissimes ? Pourquoi le Gardasil a-t-il été traité comme un produit d’urgence vitale et bénéficié d’une publicité et d’un soutien massif des sociétés savantes, des experts et des gouvernants ? Pourquoi chaque jour apporte un nouvel article publicitaire trompeur dans les grands médias ? Pourquoi des députés déposent-ils un amendement pour rendre ce vaccin obligatoire ? Pourquoi tant d’émissions répandent-elles la peur chez les familles des jeunes femmes, et bientôt des garçons ?

Autant de questions auxquelles tente de répondre cet ouvrage, en faisant le bilan à 12 ans de la commercialisation sur les résultats avérés, et mettant en lumière la réalité des résultats des vaccinations larges et les confrontant aux espoirs des inconditionnels du vaccin, bercés d’illusions par les modélisations et simulations sur des hypothèses qui s’avèrent fausses. Ces résultats confirment la découverte de Lars Anderson sur la population suédoise : contrairement aux espoirs et simulations statistiques, le nombre de cancers du col utérin a augmenté chez les populations vaccinées.

Ainsi, en l’absence de prise de conscience rapide et mondiale, le Gardasil pourrait bien être le prochain scandale sanitaire, bien plus grave par son ampleur que ceux du Distilbène, du Vioxx, de la Dépakine ou encore du Médiator.

Vaccin Gardasil, vers un nouveau scandale sanitaire ?

Drs Nicole & Gérard Delépine, Culture Populaire, 1/2

Vidéo publiée le 28 février 2019. (A suivre ici : 2/2).

Gérard Délépine chirurgien, oncologue et statisticien et Nicole Délépine, pédiatre, oncologue, se battent depuis plus de 40 ans pour améliorer la prise en charge des malades atteints de cancer et informer la population sur l’état actuel de la science en se basant sur les faits avérés, les registres nationaux des cancers et publications internationales.

Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus, a pour objectif officiel de diminuer la fréquence des cancers du col utérin dans les populations vaccinées. Pourtant ce cancer est rare (moins de 3000 par an en France, pour 1000 décès) et prévenu à plus de 80 % par le dépistage.

Quand aucune urgence de santé publique n’existe, pourquoi les agences du médicament accordent-elles des autorisations à toute allure, comme s’il s’agissait de maladies gravissimes ? Pourquoi le Gardasil a-t-il été traité comme un produit d’urgence vitale et bénéficié d’une publicité et d’un soutien massif des sociétés savantes, des experts et des gouvernants ? Pourquoi chaque jour apporte un nouvel article publicitaire trompeur dans les grands médias ? Pourquoi des députés déposent-ils un amendement pour rendre ce vaccin obligatoire ? Pourquoi tant d’émissions répandent-elles la peur chez les familles des jeunes femmes, et bientôt des garçons ?

Autant de questions auxquelles tente de répondre cet ouvrage, en faisant le bilan à 12 ans de la commercialisation sur les résultats avérés, et mettant en lumière la réalité des résultats des vaccinations larges et les confrontant aux espoirs des inconditionnels du vaccin, bercés d’illusions par les modélisations et simulations sur des hypothèses qui s’avèrent fausses.

Ces résultats confirment la découverte de Lars Anderson sur la population suédoise : contrairement aux espoirs et simulations statistiques, le nombre de cancers du col utérin a augmenté chez les populations vaccinées.

Ainsi, en l’absence de prise de conscience rapide et mondiale, le Gardasil pourrait bien être le prochain scandale sanitaire, bien plus grave par son ampleur que ceux du Distilbène, du Vioxx, de la Dépakine ou encore du Médiator.

Gardasil alert, imminent risk of unnecessary and sometimes dangerous HPV vaccination for girls and boys

Gardasil : the anticancer vaccination that increases the risk of cervical cancer in young women

Reference. Written by Gérard Delépine, MD, Orthopaedic Surgeon/Oncologist/statistician, July 23, 2018.

Open letter to parliamentarians, and to all citizens.

BE CAREFUL. While many doctors, foreign and French, citizens, patients sometimes victims, have been trying to inform for many years about the uselessness and the risks of the HPV vaccine, a new offensive of the pharmaceutical lobbies led again some MPs to try to introduce laws to make it a compulsory vaccination, already probably the most widespread in the world.

We have analysed the benefit-risk of this vaccine originally intended for women, but boys are likely to be targeted as well and denounced several times its uselessness coupled with its risks. both in women and in men. The time spent since FDA’s marketing authorization in June 2006 only adds new arguments against this vaccination, the strongest of which is the increase in the number of cervical cancers in the vaccinated population. which should encourage these countries to follow the example of Japan and Austria and to delete the recommendation.

Attention, some MPs want to impose a vaccination that can increase the risk of cervical cancer, as proven by international publications of national cancer registries.

ANALYSIS OF THE PROPOSED LAW WHICH MAY MAKE GARDASIL COMPULSORY

The preamble to the bill is based on the usual arguments of pharmaceutical companies widely disseminated by the media and their comfortably paid experts.

This preamble certainly recalls some indisputable true facts: there are more than one hundred HPV strains, the vaccines possibly protect against infection by the 4 to 9 strains included in the vaccine (only 2 to 5% of the 200 known strains ), against genital warts and some dysplasia’s without specifying that there is no evidence that it protects against cancer.

It is extremely disturbing to read in the presentation of opinion justifying the proposed law a number of known untruths:

« There are more than one hundred and twenty kinds of human papillomavirus (HPV), and fifteen are considered to be at high risk because they can cause cancers including HPV 16 and 18 causing 70% of infections. » But this only demonstrates a statistical correlation between presence of HPV and cancer, without anyone being so far able to demonstrate a direct CAUSALITY link.

« There are effective HPV vaccines. Current vaccines offer effective vaccination against 70% of carcinogenic HPV, and a new vaccine will soon increase this rate to 90%. » But, what do MPs mean by efficiency? the vaccine is effective on the infections of strains targeted by the vaccine (only 4 to 9 of the nearly 200 listed strains) but there is no evidence that it can prevent invasive cancer let alone avoid death by this cancer.

Citing Australia as a vaccine success story: « In Australia, where 80% of women and 75% of men are vaccinated, cases of HPV lesions have almost disappeared ». But, this statement is outrageous, as the following presentation will show you, because in this highly vaccinated country the number of cervical cancers (and other cancers attributed to HPV) continue to increase.

They also deny the risk of serious side effects that have led to protests in many countries (Denmark, Ireland, Japan, Colombia) and legal complaints from doctors against the EMA.

WHAT SHOULD IT EXPLAIN TO PARLIAMENTARIANS?

The regular smear (every three years) better guarantees early detection of cervical cancer.

In France, HPV infection is not a real public health problem in 2018, neither for women nor for men. In women, since smear screening has been used, the annual number of deaths from cervical cancer is consistently less than 1000 in France, and the women who die are almost exclusively those who have not been screened.

Diagnosis of HPV papillomavirus infection detected by systematic sampling should be avoided! Positive results often lead to unnecessary examination and very early conisation (biopsy) which is often useless.

The <1000 deaths per year from cervical cancer could all have been prevented by screening, Compare this with lung cancer (23,000 deaths), breast cancer (11,883 deaths), or prostate cancer (8,207 deaths) [15] .

Whilst efficacy of smear screening is proven, HPV vaccination not been proven to prevent a single invasive cervical cancer. The cancer registry records even suggest that this vaccine is sometimes likely to increase the risk.

INSTEAD OF REDUCING THE NUMBER OF CERVICAL CANCERS, IT INCREASES SOMETIMES

Curiously, the MPs who signed the bill do not talk about the proven results of the vaccine on the risk of invasive cancer of the cervix, its only official justification.

Instead of reducing the risk of invasive cancer of the cervix, HPV vaccines keep it at a high level or increase it!

After 12 years of use and more than 200 million girls vaccinated worldwide for a total bill of nearly $100 billion paid directly or indirectly by citizens , we can indeed draw a balance of effectiveness of vaccination in two ways:

  1. By examining the evolution of the incidence (annual frequency of new cases per 100,000 women) of the invasive cancer of the cervix in each country, before and after vaccination, a method already validated in 2003.
  2. World Standardised Rates: gross Incidence reported as « Standard World Population » to correct possible biases related to the demographic characteristics of each country.

The evolution of the incidence of cervical cancer before and after vaccination with Gardasil can be traced in a perfectly reliable way in the national cancer registries controlled and published by the ministries of health of the concerned countries.

 

Australia, according to the Australian Institute of Health and Welfare, the incidence of cervical cancer declined by almost 50%, from 12(/100,000) in 1995 to 7 in 2004 (before the vaccination campaign). Mortality also improved, thanks to smear screening and treatment. However, since the vaccination campaign started in 2007, there has been no further decrease in either incidence or mortality. In 2017, the incidence of cervical cancer is estimated at 7.1 and cervical cancer mortality has increased by almost 15% from 1.7 in 2014 to 2 in 2017. And our MPs quote Australian efficiency!

The Australian Ministry of Health estimates the number of new cases of cervical cancer is 912 in 2017 and 930 in 2018. Claiming, like our MPs, that « cases of HPV lesions have almost disappeared » in Australia is therefore not correct. One cannot imagine that these MPs lie voluntarily, so we can conclude that they are poorly informed and that they should have checked themselves the information provided by the experts related to laboratories before distributing this « fake news ».

Great Britain, according to Cancer Research UK, the Office of National Statistics (ONS), the incidence of cervical cancer had decreased (thanks to smear screening) from 12.4 in 1995 to 9.27 in 2004. But since vaccination, there is no longer any evidence of improvement, nor on the incidence stagnating from 9.3 in 2006 to 9.6 in 2015 nor on the mortality remaining at 3.

Canada. According to the Canadian Cancer Society, the incidence of cervical cancer has decreased (through screening) from 18 in 1972 to 8.1 in 2008. But since vaccination, there has been no further progress on incidence stagnating at 8.3 in 2017.

United States, according to the National Cancer Institute’s SEER cancer statistics review, the incidence of cervical cancer reduced from 14.8 in 1975 to 6.66 in 2007. But since vaccination, there has been no decrease in the incidence of cervical cancer reached 6.68 in 2015 .

Norway, according to the Cancer Registry of Norway, Oslo: before vaccination, the standardized incidence had fallen sharply thanks to smear screening from 24 in 1965 to 7 in 2004. But since the vaccination, it goes up to 13.9 in 2014 and 14.9 in 2015.

Sweden, according to the National Kvalitetsregister for Cervix Cancer prevention (NKCx ): before the vaccination campaign, the incidence of cervical cancer had decreased (thanks to screening) from 18 in 1967 to 7 in 2006. The worldwide standardized incidence of cervical cancer has increased significantly since vaccination rising to 10.3 in 2012 and 11.5 in 2015. This increase is almost exclusively due to the increase in the incidence of invasive cancer among women aged 23 to 49, which has reached more than 50% since 2006 (11 in 2006 versus 17 in 2015), whereas it is those who have the highest vaccination coverage rate (85%).

Thus, in countries whose populations have access to smear screening, it has led to a considerable reduction in the incidence of cervical cancer (from 40 to 60%). In contrast, the introduction of vaccination has not reduced the incidence or mortality of cervical cancer. Contrary to what is promised by laboratory-related physicians and by many global health authorities, vaccination campaigns have even been followed by an increase in the incidence of cancer.

France, with low levels of HPV vaccination, can serve as a control country. According to Public Health France, the incidence of cervical cancer in mainland France has steadily decreased from 15 in 1995 to 7.5 in 2007, 6.7 in 2012 and 6 in 2017. This decrease in incidence was accompanied by a decrease in mortality from 5 in 1980 to 1.8 in 2012 and 1.7 in 2017. France, with low use of Gardasil, has a much more satisfactory evolution for both incidence and mortality than that of the countries cited as example by the MPs who want to impose vaccination.

Comparison of recent standardized incidences with vaccination coverage rates.

Immunization advocates claim that a high vaccination coverage rate reduces the risk of invasive cancer of the cervix. Yet the comparison of incidence and mortality rates with vaccine coverage rates shows the opposite:

Australia, HPV vaccination coverage exceeds 85% , but in 2017 the incidence of cervical cancer is 7 and the mortality is 2

Great Britain, despite vaccination coverage exceeding 80%, the incidence in 2015 was 9.6 and mortality 3

Sweden the vaccination coverage rate is close to 75% but the incidence 2015 reaches 11.5.

USA, in 2017 the vaccination coverage rate is 60% for a cervical cancer incidence of 6.8 and a specific mortality at 2.3.

France , in 2017, HPV vaccination coverage is very low (around 15% ) for a cervical cancer incidence of 6 and a specific mortality of 1.7

In countries with high immunization coverage, the incidence of invasive cancers and mortality are therefore higher than in France, and compulsory immunisation proposed by some MPs would eliminate this French paradox that protects our children!

 

The harmful side-effects are difficult to deny

In their preamble, the MPs deny that Gardasil can lead (as any treatment) to complications while Japan, Austria and Denmark have stopped promoting this vaccination after serious complications, sometimes even fatal and that families suffering from these vaccines organized public demonstrations in several countries of the world (Japan, Colombia, Ireland), and that Danish doctors lodged a complaint against the European Medicines Agency (EMA), which refused to answer the questions they asked. after the notification of severe neurological events not listed in the EMA registers.

In France, several lawsuits are in progress.

« Among the most frequently mentioned by the victims defended by M pathologies e Coubris include multiple sclerosis, lupus, disseminated acute encephalomyelitis (inflammation of the central nervous system) and myofasciitis macrophages (a disease that results in pain muscle and chronic fatigue) ». A parliamentary commission of inquiry which could hear experts, citizens and independent associations of laboratories, having, from near or far, no link of interest with laboratories, would be a first step to enlighten Parliament.

IN CONCLUSION, the benefit-risk balance is not in favour of vaccination, let alone compulsory.

A compulsory health measure should not be based on faith in vaccination or hidden conflicts of interest, but on proven facts, verifiable by every citizen. However, the facts established by the official records of cancer registries show that HPV vaccination does not protect against invasive cancer of the cervix but seems rather to maintain its frequency at a high level, and sometimes even increase it.

Let us fight against this bill that threatens our children, by informing everyone, our MP, our senator, our elected officials, that no one may be unaware.

Only this work of proximity of each citizen this summer, will be able to avoid this new catastrophe of return which could be the anti-HPV vaccination, as it has been and still is the obligation of vaccination against hepatitis B.

Let’s apply the precautionary principle! Let us respect the right of every human being to informed choice/consent for medical interventions!

Cancer: les bonnes questions à poser à votre médecin

On vous a diagnostiqué un cancer?

Les personnes exposées au distilbène DES ont un risque plus élevé de différents types de cancer.

Voir les études DES et cancer et ce tableau pour les filles DES.

Maintenant qu’on vous a diagnostiqué un cancer, il est nécessaire que vous en sachiez davantage à propos de votre état et des options thérapeutiques qui s’offrent à vous.

À ce stade, nombreux ne savent plus quoi penser ni vers qui se tourner. Pourtant, à qui confier ses angoisses, ses doutes et les mille questions qui surgissent durant les longues heures d’insomnie, sinon à votre médecin?

  • De quel type est mon cancer?
  • À quel stade en est-il?
  • Quelle chirurgie peut-on me proposer?
  • Quels sont les résultats connus des nouveaux traitements?

Posez les bonnes questions vous sortira de l’état de faiblesse dans lequel l’annonce de la maladie vous a plongé et contribuera ainsi à reéquilibrer le dialogue avec votre médecin.

image du livre: Cancer, questions à poser à votre médecin
Les personnes exposées au distilbène DES ont un risque plus élevé de différents types de cancer.

Au-delà des questions générales, cet ouvrage pratique s’articule autour de question/réponses ciblées concernant les cancers les plus fréquents (cancer du sein, cancer du poumon, cancer de la prostate) et précise certains termes médicaux et législatifs en vigueur.

À l’heure où la santé est devenue une marchandise comme les autres, il est plus nécessaire que jamais de nourrir le colloque singulier médecin/patient en aidant les malades à obtenir toutes les informations les concernant, comprendre les traitements proposés – en d’autres termes, à redevenir sujets et non plus seulement objets de soins.

Pédiatre, oncologue, ancien chef de service de cancérologie pédiatrique à l’assistance publique-hôpitaux de Paris, Nicole Delépine se bat depuis trente-cinq ans pour améliorer la prise en charge des malades atteints de cancer, en particulier les plus jeunes.
Chirurgien orthopédique, oncologue et statisticien, Gérard Delépine a consacré sa carrière à développer des techniques de chirurgie conservatrice.

Thérapeute engagée, Nicole Delépine a publié “9 petits lits sur le trottoir“,”Le cancer, un fléau qui rapporte“,”La face cachée des médicaments“, “Ma liberté de soigner” et “Neuf petits lits au fond du couloir” aux éditions Michalon pour défendre en cancérologie pédiatrique une médecine de pointe, humaine et individualisée.

Le Distilbène DES, en savoir plus

Aide aux enfants malades du cancer : l’Association Ametist

Cancer : pour la Liberté de Choix thérapeutique – Carine Curtet

Vidéo publiée le 12 novembre 2015 par la chaîne Des Maux et Des Mots.

Carine Curtet est présidente de l’association A.M.E.T.I.S.T. Soutien sans faille du service d’oncologie du Docteur Nicole Delépine, à l’hôpital de Garches, l’association défend la liberté thérapeutique pour les enfants atteints de cancer.

Sur le même sujet

  • Dans cette interview, Carine Curtet explique que les enfants atteints de cancer sont systématiquement enrôlés dans des essais thérapeutiques sans possibilité de bénéficier de traitements existants. En 2008, sur 1700 cas de cancers pédiatriques, 800 essais thérapeutiques étaient engagés. Aujourd’hui, c’est trois fois plus. La présidente d’A.M.E.T.I.S.T dénonce les menaces faites aux parents si ces derniers demandent un traitement ancien ayant fait ses preuves, certains se retrouvant traînés devant un juge de tutelle.
  • Nos liste de vidéos sur l’industie médicale et pharmaceutique.

L’invité d’i matin février 2006: le docteur Nicole Delepine

Ma liberté de soigner ; témoignage

Nicole Delépine est sur i-télé afin de parler de son livre : “Ma liberté de soigner“. Vidéo publiée le 4 juin 2012 par Nicole Delepine.


A la fois témoignage bouleversant sur son vécu auprès d’enfants malades du cancer et réquisitoire aurgumenté contre un système de plus en plus totalitaire qui rejette les fondamentaux de la médecine d’Hippocrate, l’ouvrage du docteur Nicole Delépine est surtout un vibrant plaidoyer pour la liberté thérapeutique.

Plus d’informations:
  • Le site du docteur Nicole Delépine.

Ma liberté de soigner, Nicole Delépine

Pour la médecine, contre la pensée unique

Ma-liberté-de-soigner image
Le plan Cancer présenté en mars 2003 par Jacques Chirac annonce en première intention sa volonté d’accorder à chaque patient un “parcours personnalisé”. Dans la réalité, seul ce parcours sera effectivement personnalisé, mais pas le traitement qui, lui, sera standardisé.

Sous couvert d’imposer à notre pays une “médecine fondée sur les preuves“, on assiste depuis quelques années au démantelement en règle de notre système de soins et de protection sociale. Maître mot de cette orientation idéologique devenue une véritable religion pour certains : la standardisation.

Désormais, pour être “scientifiquement correct”, les traitements doivent être uniformisés, les soignants robotisés et les patients normalisés.

Ces dérives, encouragées par les grandes firmes pharmaceutiques et appliquées par une bureaucratie tatillonne, ont élevé les essais thérapeutiques au rang d’horizon indépassable pour tous les traitements à venir. Et malheur aux médecins, malades et familles qui ne se convertiraient pas à ce nouveau dogme !

A la fois témoignage bouleversant sur son vécu auprès d’enfants malades du cancer et réquisitoire aurgumenté contre un système de plus en plus totalitaire qui rejette les fondamentaux de la médecine d’Hippocrate, l’ouvrage du docteur Nicole Delépine est surtout un vibrant plaidoyer pour la liberté thérapeutique.

Cancer… Business mortel? Qui décide de notre santé?

Peut-on véritablement soigner librement en France?

Vidéo publiée le 15 avril 2014 par Jean-Yves Bilien.


Y aurait-il un super business de la maladie qui ne tiendrait pas compte des patients en souffrance?

Le docteur Nicole Delépine, Cancérologue, responsable de l’unité d’oncologie pédiatrique de l’hôpital universitaire Raymond Poincaré à Garches (APHP), pratique avec son équipe une cancérologie individualisée et sans aucun doute mieux tolérée et de surcroît plus efficace. Ses résultats parlent d’eux-mêmes : plus de 90% de réussite sur des cancers de l’os chez l’enfant si la prise en charge est immédiate contre 50% ailleurs.

Après trente ans de bons et loyaux services le Dr Delépine s’apprête à partir en retraite en juillet prochain et à cette occasion les pouvoirs publics envisagent très sérieusement la fermeture du service. La présence de la petite équipe des 8 médecins séniors pédiatres qui exercent avec elle, depuis plus de trente ans garantit la pérennité de ses méthodes et pourtant l’avenir du service reste très incertain.

“Peut-on soigner librement en France ?” manifestement la question vaut la peine d’être posée.

Après plus de 25 ans de lutte, le service existe toujours. Il est à parier que si les résultats n’avaient pas été significatifs l’unité aurait tout bonnement disparu depuis bien longtemps.

La médecine actuelle semble s’élaborer sur un fonctionnement à plusieurs vitesses. Cette médecine uniformisée, informatisée, déshumanisée n’est pas du goût du Dr Delepine et de ses collègues.

Ce qui se joue très clairement c’est la vie d’enfants et d’adultes. II semble donc évident que poursuivre la mission initiée par le Docteur Delépine est pour ainsi dire vitale.

Ses collègues pourront-ils poursuivre leurs missions ?

Plus d’informations:
  • Cancer… Business mortel? Qui décide de notre santé?, MetaTV.
  • Le meilleur endroit pour financer des films ensemble! touscoprod.
  • Le site de Jean-Yves Bilien, Auteur/réalisateur de documentaires depuis quinze ans.

Sauvons l’Unité Nulle Part Ailleurs, Oncologie Pédiatrique individualisée, Hôpital Raymond Poincaré

A Garches, le service d’oncologie pédiatrique de Nicole Delépine est menacé de fermeture. Pour de nombreux enfants, il est la seule possibilité d’être soigné

Objet : Pétition à Mme La Ministre de la santé pour la pérennité de l’unité d’oncologie pédiatrique de Lenny, Beatrice, James et les autres

Avaaz
Objet : Pétition à Mme La Ministre de la santé pour la pérennité de l’Unité spécifique d’Oncologie Pédiatrique individualisée de l’hôpital Raymond Poincaré de Garches. Sauvons l’unité “nulle part ailleurs“.

” Madame la Ministre,

Nous nous mobilisons une nouvelle fois contre la mort programmée de l’Unité spécifique d’Oncologie Pédiatrique individualisée de l’hôpital Raymond Poincaré de Garches (92380) APHP.

Depuis plus de trente années, le Docteur Nicole Delèpine et son équipe pratiquent une médecine individualisée et humaine, pointue utilisant les traitements éprouvés efficaces, quand ils existent, sans les délaisser pour des essais thérapeutiques dont les résultats à long terme ne seront connus que plus tard et donc incertains.

Nous avons le droit de profiter des progrès de la médecine de ces trente dernières années et pas seulement d être le cobaye pour les prochaines décennies. Nous acceptons les essais lorsqu’aucune solution sérieuse n’existe pour nos cancers.

Nous ne sommes pas un simple numéro, mais un patient que l’on écoute et auquel on donne les moyens de vaincre le Cancer en connaissance de cause, c’est-à-dire des possibilités fournies par les schémas de traitement connus ou par les essais cliniques proposés. C’est à nous de choisir !

Le 6 novembre 2006, l’unité a été transférée de l’hôpital Avicenne de Bobigny à l’hôpital Poincaré à Garches, suite à la signature en 2004 d’un protocole d’accord entre l’AP HP, le Ministère de la Santé et l’Unité du Docteur Delèpine, affirmant sa pérennité.

Malheureusement à ce jour le protocole n’est plus respecté, les locaux, moyens matériels et même humains sont petit à petit grignotés. Sa fermeture régulièrement annoncée déstabilise le personnel harcelé par l’encadrement pour pallier aux restrictions de postes.

Pour que nos enfants puissent continuer à être suivis par cette unité qui n’existe “nulle part ailleurs” nous vous interpellons une nouvelle fois. Que d’autres puissent profiter des chimiothérapies adaptées à ‘âge évitant des amputations comme cela a encore été le cas pour trois patients le mois écoulé.

Ou iront-ils ?

Mme la Ministre, nous sommes sûrs que le sort d’enfants cancéreux ne vous laissera pas indifférente.
Nous espérons vous rencontrer en personne rapidement.

Respectueusement. “

Signez la pétition !

A tous ! Si vous ne voulez pas qu’un jour cette unité exemplaire disparaisse, il faut tous nous mobiliser et obtenir en peu de temps un grand nombre de signatures qui seront transmise à la Ministre de la Santé. Envoyer vos témoignages personnels aux associations Amétist et Regarde la vie ou au Docteur Delèpine via leurs sites qui seront joints à la pétition au ministre. C’est plus largement la liberté de choix thérapeutique que nous devons défendre ! Merci pour eux, pour nous, pour tous ! Christelle Mathillon, Céline Servant, les associations Regarde la Vie et Amétist. ”

Cliquez pour Signer sur AVAAZ.org Pétitions Citoyennes.

Plus d’informations – Ametist.org