Révision (Cochrane) du vaccin HPV : incomplète et avec de nombreux biais ?

Rien ne justifie de recommander le vaccin Gardasil contre les papillomavirus

Cochrane – Une institution indépendante de l’industrie pharmaceutique, a récemment blanchi les vaccins recommandés pour prévenir le cancer du col de l’utérus, controversés depuis dix ans. Des voix qui contestent solidement l’efficacité de cette vaccination mettent aujourd’hui leurs données à la disposition du public et des médias.

Avec ses collègues (Dr Jean-Pierre Spinosa, gynécologue, et Serena Tinari, journaliste d’investigation), Catherine Riva considère que Cochrane devrait rétracter cette revue et tout reprendre depuis le début. Mais l’organisation est restée sourde aux doléances qu’ils lui ont adressées suite à la publication de la revue. Son refus d’entrer en matière est la goutte de trop qui les amène aujourd’hui à tout rendre public. Le 10 décembre, leur analyse critique de la revue Cochrane sur les vaccins anti-HPV était dévoilée sur le British Medical Journal  L’ensemble des données et des tableaux à l’appui de leurs conclusions ainsi que leurs six ans de correspondance avec Cochrane sont désormais en accès libre.

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Unbiased information on medicines : Why is it needed?

Pharmaceutical promotion practices HAI webinar, Oct 2018

Dr Barbara Mintzes (University of Sydney) joins Health Action International for an expert webinar on pharmaceutical promotion practices.

Vaxxed: From Cover-Up to Catastrophe

Doctor behind film that links autism to vaccines speaks out featuring Dr. Andrew Wakefield & Polly Tommey

A 2016 American film alleging a cover-up by the Centers for Disease Control and Prevention (CDC) of a purported link between the MMR vaccine and autism.

Official site.

Les dangers de l’obligation vaccinale chez les nourrissons

Certains vaccins sont complètement inutiles, dit Serge Rader

Interview de décembre 2017, publié par Magazine Nexus.

Serge Rader, pharmacien spécialiste des vaccins, pousse un cri de colère pour qu’un véritable débat scientifique puisse avoir lieu, sans la mainmise des laboratoires pharmaceutiques.

  • Auteur des livres “Vaccins : oui ou non ?” et “Le racket des laboratoires pharmaceutiques : et comment s’en sortir” Serge Rader, pharmacien durant de très nombreuses années et depuis peu lanceur d’alertes, explique, au travers de cas concrets, les dangers de l’obligation vaccinale chez les nourrissons.

La mainmise des laboratoires pharmaceutiques sur la vaccination

Serge Rader pharmacien, 2018 : Buzyn et la dictature des vaccins

Vidéo publiée le 23 juillet 2018 par TV Libertés.

Serge Rader, pharmacien spécialiste des vaccins, pousse un cri de colère pour qu’un véritable débat scientifique puisse avoir lieu, sans la mainmise des laboratoires pharmaceutiques.

  • Auteur du livre “Le racket des laboratoires pharmaceutiques : et comment s’en sortir” Serge Rader, pharmacien durant de très nombreuses années et depuis peu lanceur d’alertes met en lumière, au travers de cas concrets, les dangers de la vaccination.
  • Nos liste de vidéos sur les médicaments et labos.

It’s a moral requirement to make money when you can to sell the product for the highest price, Pharma CEO says

Pharmaceutical executive defends 400 percent price hike

“I think it is a moral requirement to make money when you can . . . to sell the product for the highest price.”

“The point here is the only other choice is the brand at the higher price. It is still a saving regardless of whether it is a big one or not,”

“I agree with Martin Shkreli that when he raised the price of his drug he was within his rights because he had to reward his shareholders,”

“If he’s the only one selling it then he can make as much money as he can,”
“This is a capitalist economy and if you can’t make money you can’t stay in business.”

said Nirmal Mulye. Nostrum chief executive, in an interview…
read Pharma chief defends 400% drug price rise as a ‘moral requirement’ in the Financial Times September 11, 2018

En dehors de la science et de la justice, le bon sens peut parfois suffire

Pesticides, antidépresseurs et agnotologie du suicide

Publié par Luc Perino, médecin généraliste, humeur du 21/08/2018

Un retentissant procès vient de condamner Monsanto à verser 250 millions d’euros à un jardinier intoxiqué par le glyphosate. Cette sentence est considérée par la plupart des commentateurs comme une preuve définitive de la toxicité du glyphosate. Depuis des décennies, des milliers d’articles scientifiques ont formellement démontré la toxicité des pesticides en général et du glyphosate en particulier. Rares sont ceux qui ont eu un écho, et les plus commentés l’ont été cent fois moins que ce dernier procès. Certes, la science n’a pas le charme médiatique de la justice, mais ce serait là une trop rapide conclusion.

En réalité, la science n’émeut pas les multinationales, car elles en sont les premières productrices. Rien n’est plus facile que de décortiquer les petits biais consubstantiels à toute science et de produire de nouveaux biais. Cette science du doute s’appelle l’agnotologie et elle suffit à maintenir longtemps les institutions en sommeil. Surtout si ce sommeil est profitable à tous les sens du terme.

On pourrait en conclure que seule la justice peut émouvoir les multinationales. Ce pourrait être vrai si les condamnations visaient les dirigeants, mais les peines se résument toujours à d’anonymes indemnités qui ont été largement budgétées en amont. L’industrie pharmaceutique en est coutumière. Le laboratoire Glaxo a payé une amende de 3 milliards de dollars pour avoir dissimulé pendant des années les risques cardiovasculaires mortels liés à son hypoglycémiant (rosiglitazone). Pfizer a payé 2,3 milliards pour avoir promu hors autorisation de dangereux antiépileptiques pour des douleurs banales. Etc. Le procès du glyphosate semble ridicule aux côtés des milliards que paient avec discrétion les compagnies pharmaceutiques pour éviter les procès.

Pourtant, en dehors de la science et de la justice, le bon sens peut parfois suffire. La simple observation de la dévastation animale et végétale immédiate causée par les pesticides suffisait à en évaluer la toxicité. Les paysans du monde entier ne s’y sont pas trompés en choisissant les pesticides comme premier moyen de suicide. Les pesticides sont même responsables de plus d’un suicide sur sept dans le monde. Les antidépresseurs en provoquent probablement plus, mais la preuve est plus délicate, car l’agnotologie pharmaceutique est infiniment plus subtile que l’agnotologie agro-alimentaire.

Constatant le long et tortueux chemin de la vérité avec la science ou la justice comme seul attelage, nous comprenons aisément pourquoi la très grande majorité des humains se réfugie derrière les dogmes. L’industrie agro-alimentaire est là pour nous nourrir. L’industrie pharmaceutique est là pour nous soigner. Voilà des dogmes qui, en plus d’être immuables, sont vraiment reposants.

En Savoir Plus

Medicare spent $2 billion for one drug as the manufacturer paid doctors millions

CNN reports on Acthar : doctor payments, paid prescribers, drug sales and pricing

“More than 80% of doctors who filed Medicare claims in 2016 for H.P. Acthar Gel — a drug best known for treating a rare infant seizure disorder — received money or other perks from the drugmakers, according to a CNN analysis of publicly identified prescribers.

The analysis, which looked at doctors who filed more than 10 Part D claims, found that the drugmakers — Mallinckrodt and Questcor — paid 288 prescribers more than $6.5 million for consulting, promotional speaking and other Acthar-related services between 2013 and 2016. Mallinckrodt purchased Questcor in 2014.

At about the same time, Medicare spending on Acthar rose dramatically — more than tenfold over six years.”

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